En juin 2024, la première étape du festival a eu lieu en Guadeloupe au Musée Edgar Clerc – Le Moule.
L’édition 2024 du Festival du Street Art et du Graffiti de Guadeloupe, va pour la 1ère fois poser ses couleurs sur un autre territoire, “La Ferté-Macé, dans l’Orne du 2 au 12 octobre pour la deuxième étape du festival.
Découvrez les 4 artistes
KAREY
Jean-Michel
Guadeloupe
KAREY pratique l’art de rue depuis les années 90. Ce qu’il considérait au début comme un loisir est devenu aujourd’hui son activité principale.
Il utilise aussi bien les aérosols que les pinceaux et logiciels de création graphique.
Il répond aux demandes des entreprises, administrations et particuliers pour embellir leurs espaces d’œuvres colorées.
Il a durant ces dernières années participé à de nombreux festivals et ne cesse d’être sollicité, afin d’apporter sa touche artistique dans des lieux diversifiés de la Guadeloupe notamment.
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REKLY
Hexagone / Guadeloupe
Originaire de la Guadeloupe et de la banlieue des Hauts-de-Seine, très jeune Rekly incarne une sensibilité innée à l’expression artistique et manifeste un intérêt profond pour l’art sous diverses formes.
Grandissant au coeur de la culture hip hop, c’est à travers le graffiti entre autre, qu’il trouvera une manière puissante et authentique d’exprimer sa créativité.
Il se distingue par sa polyvalence artistique, entre portraits réalistes, calligraphies ou encore oeuvres abstraites, ce qui unit ses créations c’est l’énergie qu’il insuffle à travers un jeu expressif de mouvements, de formes et du choix de ses couleurs.
Ainsi Rekly incarne non seulement un gaffeur talentueux, mais aussi un artiste complet, ancré dans une sensibilité artistique qui transcende les limites du graffiti.
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OJI
Hexagone
Oji apprend à dessiner en même temps qu’il s’essaye à la bombe, la peinture comme une renaissance à la suite d’une longue convalescence. C’était il y a 10 ans. Il s’exprime alors dans les rues du monde de manière spontanée, notamment à New-York, puis revient en France où il reçoit des commandes institutionnelles.
En créant, Oji transforme ses émotions négatives en touches d’espoir, autant pour lui qu’à l’attention des passants de la rue.
Animé par l’harmonie des couleurs et l’apprentissage continu du dessin, il est passionné du muralisme à forte dimension sociale. Bien souvent, il place l’Homme au centre de ce qui le fait vivre, la Nature.
Il est intégré au collectif la Cale en 2020. Et sûrement qu’à la lecture de ces lignes, il cherche déjà l’inspiration ailleurs, mais soyez sûrs, jamais très loin de vous. Cela en essayant de n’oublier jamais la poésie.
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Trams One
Hexagone / Orne
Après avoir passé son enfance dans des grandes villes comme Londres et Paris, Bertrand Godard, alias TRAMS ONE, se passionne dès l’adolescence pour l’art urbain. Il choisit donc de suivre des études d’arts plastiques et obtient son diplôme de l’école des Beaux-Arts de Paris. Immergé dans les prémices du graffiti, il commence par exercer son art et déployer ses talents dans des lieux abandonnés, voire interdits, pour réaliser des oeuvres de grande taille. Diplômé de l’atelier de Vladimir Vélickovic de l’Ensba en 2000, il est un artiste engagé, pour qui la pratique picturale est une nécessité intérieure, une activité vitale. Parmi ses techniques de prédilection : les sprays, la peinture à l’Huile, l’acrylique, mais aussi l’aquarelle et le dessin en général. Il a de l’appétit pour tous les formats et tous les supports….ses influences : Bacon et Basquiat, et mêle volontiers le figuratif et l’abstrait. Vivant désormais dans la campagne normande, où il a retrouvé ses racines familiales, TRAMS ONE continue de peindre de grandes fresques. Il contribue ainsi à développer le street art dans sa région d’adoption, notamment dans la ville d’Argentan et d’Alençon. En 2020, il a également participé à la réalisation de la plus grande oeuvre collective de street art en Suisse, au sein du vélodrome de Genève.
